Mercato OM – Alors que le marché des transferts est fermé en France depuis le 1er septembre, l’OM pourrait boucler un transfert surprise dans le sens des départs.
En septembre 2019, l’OM avait dû attendre la fin du mercato pour recruter Valentin Rongier, alors à Nantes, en qualité de joker sportif. Les règlements permettent en effet aux clubs de Ligue 1 de recruter un joueur hors période de transferts à condition qu’il évolue en France.
Nantes veut utiliser sa carte joker avec Garcia
Selon Ouest-France, le FC Nantes veut profiter de ce règlement pour recruter le latéral gauche suisse de l’OM Ulisses Garcia en tant que joker. Entré en jeu face à Lyon avant la trêve, l’ancien joueur des Young Boys n’a pas été inscrit sur la liste de l’OM pour la Champions League et a été écarté depuis trois matches.
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— David Phelippeau (@dphelippeau) September 24, 2025
En quête d’un nouveau latéral gauche pour concurrencer Nicolas Cozza, le FC Nantes pense donc à Ulisses Garcia, qui n’a plus vraiment d’avenir à l’OM après le recrutement d’Emerson Palmieri et Facundo Medina, même s’il ne faut jurer de rien avec lui, puisqu’il était dans le même cas la saison passée avant de finalement retrouver du temps de jeu.
Les relations OM-Nantes pas au beau fixe
Mais un transfert de Garcia à Nantes est encore loin d’être bouclé puisque selon Ouest-France, l’international suisse de 29 ans ambitionne toujours de s’imposer à Marseille, où il est sous contrat jusqu’en 2028. De plus, le dossier est « financièrement délicat » pour Nantes selon le quotidien régional.
Et les dirigeants marseillais n’ont sans doute pas oublié les folles exigences de Waldemar Kita l’été dernier dans le dossier Matthis Abline, que l’OM courtisait. « Abline n’ira pas à l’OM, sauf s’ils paient une fortune, 50 M€ », avait ainsi lâché début juin le président nantais. Finalement, personne n’a recruté Abline.
La semaine passée, lors d’un conseil d’administration de la LFP, le président nantais a aussi violemment attaqué Pablo Longoria, à qui il a reproché son pétage de plomb à Auxerre en février dernier : « Je suis un immigré comme toi, un Polonais, et tu ne peux pas parler comme ça de la France. On n’insulte pas ainsi le pays, la Ligue, l’institution. »
